• Nous avons trouvé lors de recherches de petit trésor les fameuses sources landaises qui guérissent de certains maux.

    Certaines en lisière de bois sont encore entretenus mais certaines trop éloignés des sentiers ou au fond des bois sont moins entretenues. Seules certaines personnes y vont encore, mais surtout les anciens car ils les connaissent très bien et non pas perdu le chemin.

    Les sourcesLes sources

    Les sources

    Alors pour les remettre au goût du jour le site du Conseil départemental des Landes, une carte interactive les compile (et permet de découvrir leur histoire) et en répertorie tout de même 154.

    Les trouver ICI sur une carte,

    autre site "les fontaines miraculeuses des landes"

    en voici un autre  :

    "Les fontaines guérisseuses et sources miraculeuses des Landes"

     

     


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  • Lundi 07 novembre 2016

    Aucun doute, l'automne est bien là, toutes les feuilles des arbres du jardin sont parterre. A l'habitude je les ramassent est fait un tas au pied des arbres mais là, avec le chantier de la piscine et les tas de terre à quoi bon.

    Le matin, au moment du bus scolaire, il fait froid est oui, pas plus de 4°C avec de la neige fondue en prime. Les gros manteaux sont sorti des placards, écharpes et mitaine pour bien rester au chaud.

    Octobre est doux…

    Albert Samain

    Octobre est doux. – L’hiver pèlerin s’achemine
    Au ciel où la dernière hirondelle s’étonne.
    Rêvons… le feu s’allume et la bise chantonne.
    Rêvons… le feu s’endort sous sa cendre d’hermine.

    L’abat-jour transparent de rose s’illumine.
    La vitre est noire sous l’averse monotone.
    Oh ! le doux « remember » en la chambre d’automne,
    Où des trumeaux défunts l’âme se dissémine.

    La ville est loin. Plus rien qu’un bruit sourd de voitures
    Qui meurt, mélancolique, aux plis lourds des tentures…
    Formons des rêves fins sur des miniatures.

    Vers de mauves lointains d’une douceur fanée
    Mon âme s’est perdue ; et l’Heure enrubannée
    Sonne cent ans à la pendule surannée…

    Albert Samain, Au jardin de l’infante

     

    Le soir venu, devant la télé, je m' emmitouflé dans la couverture d'enfance de monsieur.

    L'automne est le froid


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