Mai 2019

Les hommes en jaune occupent tjrs les grandes villes le samedi, mais aucun média surtout TV, ne veut reléguer l'information. Par contre ils veulent bien minimiser la participation à quelques milliers de personnes pas plus.

Les journalistes, encore libre (pour combien de temps) peuvent encore faire quelques caricatures.

Mais nous sommes bien tombé en dictature, pourquoi ?

Non ce n'est pas une vision noire suite à tous ces évènements mais juste des faits réels.

Les journalistes libres ? non ils ne le sont plus vraiment...

Alors que la France avait signé des conventions interdisant la vente d'armes à certains pays, voilà que des journalistes tombent sur un os et quel os puisque les voilà convoqué a la DGSi, rien que ça.

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Puis vous avez maintenant les professeurs qui seront interdit de parler en mal du gouvernement ainsi que de leur établissements scolaire. Impossible de donner leur avis juste en disant que l'école manque de moyens....

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Même les avocats ne sont pas à l'abri et peuvent être jetés dehors d'un tribunal par des policiers comme des voyous." Une avocate en robe a été traînée de force par plusieurs policiers hors d’une salle d’audience du tribunal d’instance de Paris, jeudi 16 mai, sur ordre de la magistrate qui présidait l’audience. L’incident ne passe pas auprès des avocats. "

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Le gouvernement efface ou essaye d'effacer toutes caricatures, montages photos...

Il prévoirait même une loi pour l'aider. " Il y a 6 semaines, la députée En Marche Laetitia Avia déposait une proposition de loi « contre la haine sur Internet ». Sa mesure phare est d’exiger des grandes plateformes qu’elles suppriment en 24 heures les propos de nature « haineuse » et « manifestement » illicites que leur signaleront le public ou la police, sous peine d’une amende de 4% de leur chiffre d’affaire. "

Alors que certains politique d'opposition sont mis sur écoute, des journalistes, des membres de groupes de Gilets jaune, que des journalistes sont convoqués directement à la DGSI, qu'on demande aux professeurs ne plus avoir le droit de critiquer leur président ainsi que leur supérieur, que les avocats sont mis de force dehors des tribunaux...

Alors OUI, avec tout ça je pense qu'on peut dire quand 2019, nous sommes bien sous une dictature