-
Artouste suite : il faut redescendre.
Nous sommes arrivé au plus de nos capacités et prenons le chemin inverse, la descente.
Dès que Chipiron voit une source il boit.Il a bien raison de profiter à fond, on ne reviendra pas demain.
On repartant Chipiron nous montre son coin à têtards. Dans un rocher, un bassin naturel s'est formé et des grenouilles y sont venu y pondre leurs oeufs.
Est-ce plus difficile de monter ou de descendre ?
C'est une bonne question, je dirais que la réponse dépendra en des personnes.
Pour moi, et a cause de ma jambe, je dirais monter. Mais mon mari et Chipiron la descente.
Ce n'est pas simple d'aller doucement car on a tout le poids du corps en avant et les cailloux semblent glisser sous les pieds.Chipiron s'arrête à la même source cas la montée.
Arrivée en gare, la locomotive du train montant, manoeuvre pour se mettre dans le sens de la descente. Tout le monde monte, s'est parti !
Sur le retour à notre grande surprise, lors d'un arrêt d'éguillage entre les trains, une première marmotte vient nous voir.
Un garçon qui mangeait une pomme, jeta un premier morceau vers elle. En seulement 2 minutes, un puits deux, trois marmottes arrivent pour manger les morceaux de pommes qui continuaient à être jetés vers elles.Mais l'autre train arrivait sur les rails où se trouvaient les marmottes, bine trop occupées à manger pour regarder ce qui arrivé vers elles.
J'ai poussé un cri quand la locomotive a frôlé la patte de la marmotte, qui a tout juste eu le temps de sortir de la voie.
Quant à Chipiron, il a pleuré de peur, mais la marmotte va très bien, elle juste prit son temps.
Sur le retour dans les petits wagons, papa s'est gentiment endormi avec le bercement du train et le vent.
Chipiron s'est blotti contre moi et moi je profité de la vue magnifique et de ce grand bol d'air pur.
Nous voici de nouveau devant le tunnel de l'ours... l'arrivée n'est pas loin.
On voit bien, sur cette photo, que le tunnel est vraiment très étroit
et juste fait pour le passage de ce petit train.
Pas un pied ne doit dépasser.
Qui dit retour, dit aussi descente en télécabine. face à la descente, j'ai eu un petit peu peur quand même, surtout quand la cabine ce lance dans le vide.
S'est fini, on rentre... Tout a une fin.
Tags : descente, Artouste, train, montagne, lac, barrage, Pyrénée, Sud-Ouest, Pays Basques
-
Commentaires