• Artouste suite : il faut redescendre.

    Nous sommes arrivé au plus de nos capacités et prenons le chemin inverse, la descente.
    Dès que Chipiron voit une source il boit.

    Il a bien raison de profiter à fond, on ne reviendra pas demain.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    On repartant Chipiron nous montre son coin à têtards. Dans un rocher, un bassin naturel s'est formé et des grenouilles y sont venu y pondre leurs oeufs.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    Est-ce plus difficile de monter ou de descendre ?
    C'est une bonne question, je dirais que la réponse dépendra en des personnes.
    Pour moi, et a cause de ma jambe, je dirais monter. Mais mon mari et Chipiron la descente.
    Ce n'est pas simple d'aller doucement car on a tout le poids du corps en avant et les cailloux semblent glisser sous les pieds.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    Chipiron s'arrête à la même source cas la montée.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    Arrivée en gare, la locomotive du train montant, manoeuvre pour se mettre dans le sens de la descente. Tout le monde monte, s'est parti !

    Artouste suite : il faut redescendre.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    Sur le retour à notre grande surprise, lors d'un arrêt d'éguillage entre les trains, une première marmotte vient nous voir.
    Un garçon qui mangeait une pomme, jeta un premier morceau vers elle. En seulement 2 minutes, un puits deux, trois marmottes arrivent pour manger les morceaux de pommes qui continuaient à être jetés vers elles.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    Artouste suite : il faut redescendre.

     

    Artouste suite : il faut redescendre.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    Mais l'autre train arrivait sur les rails où se trouvaient les marmottes, bine trop occupées à manger pour regarder ce qui arrivé vers elles.

    J'ai poussé un cri quand la locomotive a frôlé la patte de la marmotte, qui a tout juste eu le temps de sortir de la voie.

    Quant à Chipiron, il a pleuré de peur, mais la marmotte va très bien, elle juste prit son temps.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    Sur le  retour dans les petits wagons, papa s'est gentiment endormi avec le bercement du train et le vent.

    Chipiron s'est blotti contre moi et moi je profité de la vue magnifique et de ce grand bol d'air pur.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    Nous voici de nouveau devant le tunnel de l'ours... l'arrivée n'est pas loin.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    On voit bien, sur cette photo, que le tunnel est vraiment très étroit

    et juste fait pour le passage de ce petit train.

    Pas un pied ne doit dépasser.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    Qui dit retour, dit aussi descente en télécabine. face à la descente, j'ai eu un petit peu peur quand même, surtout quand la cabine ce lance dans le vide.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    Artouste suite : il faut redescendre.

    S'est fini, on rentre... Tout a une fin.

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