Hier, je me gratté l'oreille de temps en temps. Jusque là, rien de méchant.

Mais ce matin, j'ai commencé à dire à maman que j'avais mal dedans. Du coup nous allons à la pharmacie chercher un spray pour oreille. On ne s'est jamais un petit bouchon aurait peut-être élu domicile au fond de mon oreille.

De retour à la maison un petit coup de spray, pchit, pchit... !

Nous partons rejoindre popy à la pêche. Au bout d'heure avec lui à attraper des petits poissons, je me mets à crier et pleurer, tout en me tenant l'oreille, tellement j'avais mal.

Maman très étonné de me voir dans cet état, moi qui suit plus ou moins dur au mal, plia bagage de suite. Direction la maison puis on téléphone au docteur.  Le temps de se changer un peu, de surtout se laver les pieds, car j'avais les chaussures remplies de terre... Nous filons  vers 16 h 30 au docteur tous ensemble, papa aussi, il est rentré de bonheur.

Je monte sur la table du docteur et elle m'éxamine l'oreille.

"Effectivement" dit elle, "pour une infection, y'a une infection. Elle n'est pas petite, elle est même à l'intérieure, de l'autre côté du tympan."

Résultat : lourd traitement d'antibiotique et pas du tout d'eau, encore moins de piscine pendant 15 jours.

Sirop pâteux + gouttes + deux autres sirop pour la douleur.

Sorti du docteur à 19 h 10. Nous devons foncer pour arriver avant la fermeture de la pharmacie qui est à 19 h 30. Quand s'est une maman qui conduit et que son fils  à l'arrière pleur de douleur, on ne mais pas longtemps. heureusement que nous avons des grandes lignes droites qui traverse que des pins, dans les landes.

Maintenant je dors avec mes parents, tellement je me réveille pour pleurer de douleur. Maman du coup est au pied du lit et surf sur le net.

J'espère que d'ici demain, dans la journée, je n'aurais plus de violante douleur.

Pour le 14 juillet, nous sommes allé au parc ou il y a des jeux. Il y en a pour tout le monde : des toboggans, des ponts en planches de bois, des ponts en cordage, des escaliers, des  tuyaux pour descendre comme les pompiers et une tyrolienne. Mais qu'est ce donc, une tyrolienne ? Ou là, moi je ne monte pas sur ça ! Alors là, pas question.

Mais de voir les autres enfants en faire, je me rapproche tout doucement de cet engin.

Les enfants montent d'abord sur une plate forme, qui est déjà assé haute. Ils attrapent une corde avec leurs mains, écartent les jambes pour faire passer un disque et s'assoient dessus. y'a plus cas ce lancer et glisser le long d'un câble. Sa parait facil, mais à mon premier essai, la plate forme est trop haute. J'abandonne et je retourne à mon toboggan.

Mais je reste fixé à cette tyrolienne. Tout les enfants partent, en tout cas, il ni a plus personne à la tyrolienne.

C'est le moment ! Je fonce vers elle.

"papa, allé,...."

Je monte sur la plate forme, papa m'apporte la tyrolienne, je mets le disque entre mes jambes et voilà que je commence la descente....

"waouuuuuuu........ cout, cout maman !"

Finalement j'ai réussi et j'adore ça !

Ou j'en suis avec ma taille !

Mes parents aussi se posé la question et bien voilà, c'est fait !

1 mètre tout rond pour 16.8 kg.

Donc on ne remplira pas plus la piscine, j'ai juste pied alors pour bien m'amuser,

on restera en dessous des 1 mètre.

Matinée Pontonx

Après mettre bien amusé aux jeux, je propose de la "DANCE".

Parfois sa me prend, comme ça, j'ai une soudaine envie de danser. Direction le fronton, y'a plein de place.

Papa et maman sont bien assi, ils me regardent. J'ouvre la piste de danse, hé s'est parti mon kiki !  

Une fois ma démonstration terminée, je regard papa, est lui dit :

"papa allé, à toi, allé..."

Il se leva, tout en regardant maman, pas très sûr de lui. Elle le motivé en lui disant:

"hé oui, à toi maintenant, chacun son tour."

Après papa, su fut maman . Ils ont bien joué le jeu.

Pour clôturer se concour de "DANCE" improvisé j'ai fait un duo avec mon papa. La danse s'appelé le Sartaki.