Mardi matin, nous partons de bonne heure pour rejoindre Annecy et son grand lac.
Maman a du me réveiller.
Sur la route je regarde les nuages qui sont bien bas.
"maman les nuages pourquoi ils avancent pas ?
Nous roulons, donc on ne peu pas les voir avancer."
Au début, je croyais que c'étais de la fumée.
Nous retrouvons nos sommets enneigés, grâce à la pluie du lundi.
Papa en route fait son immuable pose pipi, maman à tout juste
eu le temps de sortir l'appareil.
Quand nous arrivons, nous décrouvrons les bords du lac d'Annecy et
je vois des petits bateaux, avec des enfants dessus.
Dommage, il ne peut pas s'arrêter sur les rives,
elles sont presque toutes privées.
Nous trouvons vite un parking souterrain et pouvons commencer notre visite.
Nous rentrons de suite dans la vieille ville en suivant le canal "le Thiou". Dans le canal il y a des canards mais aussi des cygnes blanc.
Ils sont beaux et j'aimerais bien les toucher. Il y avait de drôle d'oiseaux tout noir, avec le bec tout blanc.
Ils plongeaient pour tirer et mangé de l'herbe, du fond du canal.
Je crois bien qu'ils s'appel des "Foulques".
Nous poursuivons notre visite en longeant le canal et "le palais de l'Ile". Bâtiment se trouvant en plein milieu du canal et finissant en pointe,
par une tour. Sur les petits ponts, qui enjambent le canal, nous découvrons le marché du mardi. Uniquement dans la vieille ville.
Les anciennes maisons ont leurs fenêtres ou leurs portes qui effleures l'eau.
Les canards ou pigeons ceux reposent sur les marches,
tout juste recouvertes d'eau. On se croirait à Venise.
Nous continuons notre promenade dans les ruelles pavées, de la vieille ville.
Les ruelles sont étroites et ne manque pas de charme, pot de fleurs aux fenêtres, balcon, le long des murs...
Il est très agréable de si promener. Encore ne faut il pas être pressé.
"Hein papa !" Le problème s'est quand il y a trop de monde, on avance malgres nous dans la foule.
Encore un endroit à visiter hors saison, pour en apprécier toutes les merveilles.
Nous rentrons dans l'église Saint François. Le sol est en parquet, les escaliers en bois vernis.
On peu distinguer les restes de fresque peintes au mur.
Au dessus de la porte, il y a un énorme orgue. Papa et moi profitons de deux minutes de pose, le temps que maman finisse de prendre ses photos.
Nous arrivons au canal du Vassé ou tout un tas de barques sont au repos, à l'ombre des arbres.
Je reste scotché un moment aux barrières car je regarde le manège et ses lumières,
qui se trouve de l'autre côté, sur le Champ de Mars.
Papa va demander quelques info et plans à l'office du tourisme.
Nous empruntons donc le pont A. Lebrun.
Enfin de l'espace !
J'en profite pour me dégourdir les jambes en dansant et me roulant sur l'immense pelouse verte.
On peu apercevoir en fond, que Annecy et son lac sont bien au pied même des montagnes.
Elles sont présentes sur toutes les photos, dès qu'on prend le lac.
Autour du lac sont propose en location, plusieurs moyen de navigation,
petit bateau de 3 ou 4 places, des pédalos...
mais la encore, si les prit auraient été plus raisonnable, on aurait sûrement fait un petit tour.
Enfin, nous nous posons dans un parc à jeux pour enfants, seul endroit ombragé avec banc et de libre surtout.
J'en profite encore pour me défouler un max, pendant que mes parents casse la croûte.
Je viens de temps en temps croquer un morceaux mais je préfère continuer à escalader, glisser, tourner...
Quand papa et maman me dise allé on va continuer à marcher
"non, non, non, je ne veux pas faire un tour, non, pas question..."
Je leur est cassé les oreilles pendant plus d'une bonne demi-heure à pleuré et crier.
Je ne voulais plus avancer, ni leurs donner la main.
Tout le monde nous regardé et là, j'ai commencé mes caprices
"moi je veux faire du bateau, moi je veux du cheval à vélo, moi je, moi je..."
Le pire c'est quand une jeune femme, qui s'occupé de la location de bateau nous dit en passant
"le pauvre petit bout, venez prendre un bateau, sa le calmera"
Sa n'a fait qu'empirer. A ce moment là, le restant de la journée fut complètement gaché.
Maman était tellement en colère, de mon attitude, qu'elle n'a plus voulu me parler.
Nous restons un moment sur un banc publique, à l'ombre d'un gros platane, à regarder le lac d'Annecy
avec tout ses bateaux, ses promeneurs... Puis nous rentrons.
Fin d'Annecy.